Chers tous,
Le 27 juillet 2016, après avoir pratiqué certaines activations bioénergétiques (voir travaux de Yann Lipnick en bioénergie), je commence à recevoir des mots qu’on appelle en bioénergie “des codes d’activation” qui stimulent et activent des fonctions de notre ADN. Il peut s’agir d’activer des chakras, plexus, méridiens, points d’acuponcture dans le but de favoriser une action spécifique, qu’il s’agisse d’une réharmonisation, d’une action sur la santé (détente, relaxation, sommeil, enracinement, système immunitaire, capacités d’auto-guérison…).
Je commence par être étonnée par la combinaison qui m’est proposée et que je ne connaissais pas, et qui se trouve avoir un effet particulier sur la détente, relaxation tout en générant un état de transe comme en hypnose. Je connais bien cet état-là puisque je suis hypnothérapeute.
Suivent d’autres codes ; et c’est là que l’affaire devient intrigante, car ces codes n’existent pas à ma connaissance. Je vous livre ici les 3 séquences (combinaisons) qui m’ont été donnés.
Je précise que je ne suis pas responsable des effets que cela pourrait avoir sur vous si vous décidiez de les utiliser. Je vous les livre par pure volonté de transparence, mais je ne vous demande pas de les activer. Si vous prenez la décision de le faire, sachez que cela peut avoir des effets sur vous… dont j’ignore lesquels. Si vous souhaitez les mettre en pratique, il faut savoir que chaque code doit être prononcé trois fois d’affilée. Faites une pause d’une minute environ entre chaque séquence.
1/ Shonvirû (canal de transformation, très difficile à maitriser) + Okmé (pancréas) + Svaïka (oreilles) + Rhanûn (vaisseau gouverneur)
2/ Mahatmé + Stéviû + Romaria : codes inconnus !
3/ Eminsû : code inconnu
D’autres mots ont suivi et j’ignore s’il s’agit d’autres codes d’activation, durant l’heure qui a suivi. Une dictée par télépathie m’a été demandée en insistant sur le fait que ce texte qui m’a été dicté dans une langue elle aussi inconnue (peut-être l’est-elle pour des spécialistes linguistes) est d’une grande importance (pour l’humanité) car “après ce sera trop tard” !, me précise t-on. Je note donc scrupuleusement des phrases entières dont je ne saisis absolument pas le sens !
Le lendemain, et les jours suivants, je continue de recevoir des mots dans cette langue étrange à la consonance évoquant un mélange de plusieurs langues terrestres. Est-ce le cas ?
Je finis par recevoir un message en Français me disant qu’ils sont le peuple originel, dont les descendants furent les INCAS / MAYAS… et autres peuples apparentés.
Un nom arrive “T(s)erracocha”.
Pistû (prononcer en fait Pishtou), est un de leurs représentants et c’est qui s’adresse à moi durant plusieurs jours, de la lignée des anciens, les Nungal. Là je tilte et je pense au lexique d’Anton Parks et de son récit sur nos origines.
Ci-dessous, Viracocha, le Dieu créateur Inca.
Durant ce laps de temps, je leur fais part de mes problèmes de santé récurrents : troubles digestifs, fatigue intense (qui dure depuis des années), stress. Je leur demande de l’aide, et ils me l’offrent immédiatement sous la forme de nouvelles combinaisons d’activations qu’on me demande de garder pour moi, pour le moment. Je ne peux donc vous les livrer pour le moment, j’en suis navrée. Ces codes sont testés auprès d’amis proches qui me confirment leur action bénéfique et puissante.
Arrive une lombalgie (légère) un matin. Symboliquement, je sais très bien à quoi elle est dûe. Je leur demande donc de m’aider à nouveau et arrive une autre séquence de codes qui me soulage immédiatement. Les tiraillements et douleur diffuse cesse dans les secondes qui suivent et je me relève comme si je n’avais jamais été souffrante.
D’autres mots me parviennent par la suite, certains en Français, traduisant certains vocables utilisés par eux. J’y trouve une étonnante ressemblance avec des mots du lexique d’Anton Parks et du récit des Dogons du Mali.
Certains mots comme ŠAN-BALA me font penser bien sûr à Shamballah ! Ce mot semble vouloir dire, dans leur traduction “Maitresse des mondes inférieurs”.
Roméria signifierait Reine mère
Orméria : grandeur
Eménim : celui qui parle ; la source (de toute parole) qui engendre
Kûr-Û-Maï ; Duku-Maï semblent se référer à une espèce d’inframonde (les dimensions inférieures à la notre).
Ramà pourrait se référer à l’âme et l’idée de AMA comme mère.
Né ma mu lu né : âme incarnée ?
Pô-télé : le commencement ; il ressemble étrangement à Pô Tolo, désignée par le peuple Dogon comme étant Sirus B, la 2e étoile orbitant autour de Sirius A et qui fut découverte récemment par les scientifiques, validant ainsi son existence.
Aposophase : Note “La” qui met au diapason (j’entends un choeur chantant à l’unisson le son “la”) ; il a pour effet de réharmoniser notre ADN et peut-être nos corps subtiles voire bien plus encore. Je n’ai pas toute l’information sur les effets de ce mot puissant !
Hélé : souffle
Rapa nui shémo : Rapa nui est l’île de Paques (je n’invente rien, ce mot désigne effectivement cette île d’une importance éminente pour la Terre !) ; Shémo émet l’idée de chercher le chemin et le lien pour utiliser la clé en lien avec les Moaï !
Certaines choses me sont révélées au fur et à mesure à ce propos. L’île de Paques me semble être une CLE décisive pour notre avenir. Je ressens une très forte intuition me disant que les Moaï ont été disposés selon une certaine configuration, comme une clé d’activation pour la Terre en lien avec le mot APOSOPHASE. Je sais qu’il faut réactiver les Moaï !
Tonohélé koponomo hélé
Cela me semble en lien avec Nommo, l’être dont les Dogons nous parlent et qui leur apporta la connaissance. Je pourrais essayer de traduire cette phrase ainsi “le souffle de la “tonalité” qui provient de Nommo.
Pause d’une journée ! La communication crée un peu de fatigue et un léger mal de tête.
Pistû est un NUNGAL, un planificateur. Mon contact est là pour me révéler la vérité au sujet de nos origines. Les nungal de la lignée TsERRACOCHA est arrivée sur Terre il y a 350 000 ans, après avoir quitté précipitamment MARS suite au conflit avec ENLIL et AN.
Ils étaient sous les ordres d’INANNA, grande prêtresse ordonatrice, planificatrice sur Terre.
C’était bien avant la création de l’ADAMA, l’homo sapiens sapiens. Les premiers humanoides créés n’avaient pas de corps subtiles comme les notres, ces derniers étant l’héritage de notre créateur Gina’abul “SAM NUDIMMUD”.
Les Nungal considéraient les proto-humains comme du bétail. Ce n’est que par la suite que l’homme “moderne” arriva en remplacement et qu’ils commencèrent à nous apprécier, petit à petit, d’abord pour quelques élus.
Puis il a été question d’un être “monstrueux” enfanté comme une erreur génétique spontanée, par la mère primordiale Barbelo, et qui a disparu dans les dimensions inférieures très rapidement, se nourrissant d’égregores, énergies vitales, et incarnant aux yeux des hommes par la suite “le Diable” en personne. Il a été très compliqué pour Pistû de m’expliquer ce concept en français. Et j’avoue ne pas être certaine d’avoir tout compris ! Cet être est serait à la fois adimensionnel (non manifesté) et dimensionnel, c’est à dire pouvant choisir de se manifester physiquement.
Hier soir : (le 5/08/2016)
Je reçois une nouvelle série d’informations concernant un être s’appelant “ŠeteŠ” (shétesh). On me parle d’abord de YHWH (jéhovah ; Yaveh) comme étant un faux dieu, un usurpateur, un trompeur.
Puis il est dit “ŠeteŠ” ; “EŠteŠ” dont je ne saisis pas la signification et “IŠTEŠ“. Puis le mot “DU’AT SAM SALA Nudimmud” en opposition. Je constate qu’on parle ici de l’opposition entre ENLIL et SA’AM / HORUS.
Je demande alors si ENLIL et son père AN sont toujours en vie et on me dit qu’ils ont été tués mais leurs ALAGNIS (clones) ont été adoubés.
L’âme de ces êtres aurait donc été transférée dans des corps clonés en ayant toute la connaissance acquise par leur âme, via la maitrise du NIAMA.
On m’explique que le NIAMA serait la puissance immense issue de la maitrise parfaite et tripartite du corps-ame-esprit, associée à un degré d’évolution spirituel suffisamment développé, maitrisant le canal de transformation “shonvirû”, le langage matrice (activant des fonctions de l’ADN), nécessitant une initiation très spéciale pour l’activation de toute la structure subtile tripartite du corps-soma. Cela suppose que la structure interne activable des corps subtiles soit totale !
Le NIAMA était un peu comme le Graal pour les mâles qui jalousaient férocement les femelles et les ont persécutées, dégradées, utilisées, manipulées pour chercher à obtenir ce NIAMA.
Durant toute cette semaine on me parla de la grande guerre, des Mushidim, des planètes et systèmes stellaires détruits à cause de cette folie engendrée par des êtres mâles, les tous premiers ancetres, les “KUKU” et de toutes les conséquences pour les femelles qui aujourd’hui, même sur terre, sont dominées par les mâles.
J’ai vu des femelles esclaves d’une génétique mixte, à la peau couleur Olivâtre et aux oreilles légèrement pointues, d’apparence totalement humaine, l’iris pouvant être noir ou plutot de couleur verte et de forme reptilienne, les cheveux d’un noir d’ébène regroupé en une longue tresse… Elles creusaient des mines d’Or et se léchaient parfois les avant bras couverts de poussière d’or pour se régénérer un peu. Je ne sais pas à quand remonte cette vision fugace. La couverture du livre d’Anton Parks (ci-dessus) est ressemblante mais pas identique aux femmes esclaves que j’ai vues en esprit. Cependant, cette représentation est assez ressemblante.
J’ai bien plus d’information à ce propos mais ce serait trop long à expliquer. Et je suppose qu’ANTON PARKS en parle dans ses livres.
On m’explique que le NIAMA était à l’origine utilisé entre autres choses pour le clonage mais pour que ce dernier soit vraiment sans “tares”, il aurait fallu l’utiliser les deux polarités (féminine et masculine) c’est à dire associant un mâle et une femelle possédant tous deux le NIAMA.
Or c’était impossible compte tenu des conflits, et de l’avidité morbide et machiste des mâles de l’espèce et des manipulations de “AN” en vue de créer une nouvelle race de guerriers. Les femelles ont donc rusé et cherché à se réserver le clonage, et créant également bien plus tot dans les âges, le langage matrice, l’EMESA.
Un des codes qui m’a été donné fut “EMESIA”. Je ne sais pas ce qu’il implique.
Par la suite, dans la même communication l’une des maitresses de l’inframonde me dit
“ŠeteŠ” ; “guerre Mushidim”. Puis “Shûïa” (ŠUHIA) qui serait une princesse de l’ombre – une des réfugiées ayant disparu volontairement dans l’inframonde pour se protéger. Ce serait elle mon contact de la veille au soir.
Voilà un petit résumé d’un ensemble bien plus vaste !